La 149 iéme, encore une derrière, et je pourrai attaquer la série des 150 à Fréjus la semaine prochaine.
Patrice, Damien, avec la palanquée, breefing, allez direction 180°, 25 m max et retour, bord main droite.
Prêt ?, un plouf du ponton, wouah, elle est froide....
Nous descendons tranquillement, les oreilles ont un peu de mal (comme d'hab), puis ça passe, la visibilité est d'environ 3 mètres...
Nous voilà à 24 m, j'aperçois encore des palmes jaunes qui auraient tendance à disparaître, et j'accélère pour rejoindre mes deux collègues.
Je suis assez essoufflé, et lors de l'inspiration suivante, mon détendeur se met à fuser !
J'essaie de l'arrêter, pas moyen, il me faut de l'air, je prend une pression d'air dans la bouche, et en même temps pour expirer, il faut que je le fasse en pleine eau !
Panique, stop, je fais quoi ?
A ce niveau ma bouteille d'air est vide en moins de temps qu'il faut pour le dire puisque mon octopus fuse egalement.
Je m'essouffle, j'ai du mal...
Je chope Damien, et je lui fait signe que je suis paniqué il comprend de suite, me donne son détendeur de secours, et nous voilà parti vers la surface....sauf que moi, j'étais complètement paniqué, ma seule pensée était : n'ouvre pas la bouche pour aspirer sinon t'es noyé...j'avais l'impression d'exploser, j'expirer, j'expire encore, et enfin nous voilà arrivé à la surface.
25 m., c'est profond ! Damien me met en position de sécurité, je lui demande d'ouvrir mon gilet, j'avais l'impression d'être un bibildum !
Arrivé au ponton, je souffle, tout va bien, euhhhh, oui, mieux, un peu de repos et tout est rentré dans l'ordre. Patrice a suivi les consignes, au bout de 5 mn, ne voyant plus personne, il est remonté à la surface en respectant sa vitesse.
MERCI DAMIEN !
ANALYSE : avec Christian et Patrick : trop de respirations rapides qui ont provoquéle givrage, de mon coté, il est vrai que j'étais un peu fatigué, un peu angoissé, je ne sais pas pourquoi, mais bon, et que ma condition physique n'était pas au top.
CONCLUSIONS : il faut absolument respecter toutes les consignes de sécurité : être en forme, pas fatigué, et surtout les plongeurs de la palanquée doivent impérativement être assez groupé pour être efficace en cas de besoin.
QUOI FAIRE ? Si cela vous arrive ?
Sur le chemin du retour, Patrick me disait que le givrage, il avait connu aussi, son réflexe pour ne pas perdre tout son air, était de plier le tube du détendeur afin d'arrêter la diffusion de l'air et pour respirer, il le relâchait simplement un peu juste pour prendre ce qu'il fallait pour remonter tranquillement ! Simple, il faut juste avoir le réflexe.
Pour ma part, je vais également opter pour un deuxième détendeur que je monterai sur la deuxième sortie de la bouteille.
Il suffira de penser a plier le tuyau de celui qui fuit, et de prendre le deuxiéme....
L'idéal étant de ne plus avoir ce genre de pépin !
Patrice, Damien, avec la palanquée, breefing, allez direction 180°, 25 m max et retour, bord main droite.
Prêt ?, un plouf du ponton, wouah, elle est froide....
Nous descendons tranquillement, les oreilles ont un peu de mal (comme d'hab), puis ça passe, la visibilité est d'environ 3 mètres...
Nous voilà à 24 m, j'aperçois encore des palmes jaunes qui auraient tendance à disparaître, et j'accélère pour rejoindre mes deux collègues.
Je suis assez essoufflé, et lors de l'inspiration suivante, mon détendeur se met à fuser !
J'essaie de l'arrêter, pas moyen, il me faut de l'air, je prend une pression d'air dans la bouche, et en même temps pour expirer, il faut que je le fasse en pleine eau !
Panique, stop, je fais quoi ?
A ce niveau ma bouteille d'air est vide en moins de temps qu'il faut pour le dire puisque mon octopus fuse egalement.
Je m'essouffle, j'ai du mal...
Je chope Damien, et je lui fait signe que je suis paniqué il comprend de suite, me donne son détendeur de secours, et nous voilà parti vers la surface....sauf que moi, j'étais complètement paniqué, ma seule pensée était : n'ouvre pas la bouche pour aspirer sinon t'es noyé...j'avais l'impression d'exploser, j'expirer, j'expire encore, et enfin nous voilà arrivé à la surface.
25 m., c'est profond ! Damien me met en position de sécurité, je lui demande d'ouvrir mon gilet, j'avais l'impression d'être un bibildum !
Arrivé au ponton, je souffle, tout va bien, euhhhh, oui, mieux, un peu de repos et tout est rentré dans l'ordre. Patrice a suivi les consignes, au bout de 5 mn, ne voyant plus personne, il est remonté à la surface en respectant sa vitesse.
MERCI DAMIEN !
ANALYSE : avec Christian et Patrick : trop de respirations rapides qui ont provoquéle givrage, de mon coté, il est vrai que j'étais un peu fatigué, un peu angoissé, je ne sais pas pourquoi, mais bon, et que ma condition physique n'était pas au top.
CONCLUSIONS : il faut absolument respecter toutes les consignes de sécurité : être en forme, pas fatigué, et surtout les plongeurs de la palanquée doivent impérativement être assez groupé pour être efficace en cas de besoin.
QUOI FAIRE ? Si cela vous arrive ?
Sur le chemin du retour, Patrick me disait que le givrage, il avait connu aussi, son réflexe pour ne pas perdre tout son air, était de plier le tube du détendeur afin d'arrêter la diffusion de l'air et pour respirer, il le relâchait simplement un peu juste pour prendre ce qu'il fallait pour remonter tranquillement ! Simple, il faut juste avoir le réflexe.
Pour ma part, je vais également opter pour un deuxième détendeur que je monterai sur la deuxième sortie de la bouteille.
Il suffira de penser a plier le tuyau de celui qui fuit, et de prendre le deuxiéme....
L'idéal étant de ne plus avoir ce genre de pépin !
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